Garwall, combles, maison de la nature

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(((maison de la nature)))

Je monte à l'échelle qui mèneaux combles pour y déposer ma précieuse fiole que Korbek m'a donné.

Je n'ai pas encore pris le temps de nettoyer ce qui me sert de chambre. un oeil de boeuf apporte encore une certaine lumière ce qui me permet de repérer quelques uns de mes colocataires en la personne d'une famille de souris et des araignées. Ma paillasse est telle que je l'ai laissé la dernière fois. Un peu de paille, quelques copeaux de bois recouverts d'une simple couverture. Mon sac de voyage gît dans un coin dégonflé de mes chutes de bois et de mon équipement.

En le voyant je soupire :

"Mon vieil ami , il va nous falloir reprendre la route mais cette fois je pense que nous sommes sur la bonne piste. mais avant cela il faut que je nous joigne un nouveau compagnon."

Je redescends rapidement pour me mettre à l'ouvrage.

(((La maison de la nature)))

(((la maison de la nature)))

Je remonte enfin dans mon gîte. il est enfin temps que je fasse un epu de ménage afin de pouvoir partir tranquille avec un coin qui m'attende, personne ici ne remarquera mon départ. Peut-être dame Altura.

Je commence par ouvrir l'oeil de boeuf et aérer la pièce qui est assez grande.

Je pourrai la séparer en deux par un futur paravent, ce qui me permettrait d'avoir une chambre ainsi qu'un petit salonpour travailler sur des projets.

Je redescends prendre le balai dans l'atelier et me mets à faire un grand ménage. Tout y passe, la famille de souris qui me tenait compagnie n'a pass l'air d'apprécier. Je refais ma paillasse.

Après près de deux heures de travail la chambre est méconnaissable et ressemble enfin à un lieu de vie. Un chez moi, le premier depuis bien longtemps.

Ce sera un bon point de départ et aussi je l'espère de retour.

J'enfourne dans mon sac ma vielle couverture qui est plus un souvenir qu'une garantie de chaleur, un vieux briquet avec de l'étouppe et de l'amadou,. Je redescends chercher mon matériel de sculpture pour le remettre dans le sac.
Je vérifie le tranchant de ma dague et prend en main mon bâton.

En route vers l'inconnu.

(((la maison de la nature)))

Je monte par l'échelle dans mon antre.

J'ouvre l'oeil de boeuf afin d'aérer un peu mes combles. La famille de souris qui m'accueille n'a pas l'air très contente de mon retour et le manifeste par nombre couinements avant de s'échapper.

Je défais mon sac sur ma paillasse, sort ma statuette de fourmi, mes deux morceaux de bois de Xyyades non sans laisser mes mains les caressser. J'étends mon armure de cuir que je vais devoir vendre. Il ne me reste plus rien comme rations mais ce n'est pas grave.

Je pousse tout cela avec mon matériel de sculpture au sol pour pouvoir m'étendre sur ma couche.

Le sommeil n'est pas long à venir.

Je me réveille evfin parès presque une journée entière de sommeil. Je me sens beaucoup mieux.

J'ai de nombreuses choses à faire avant de recommencer mes recherches en bibliothèque.

(((maison de la nature)))

Je me rends compte que le soleil commence à poindre.
Mais ma fatigue est trop grande pour que je puisse résister à l'appel de ma paillasse.
Dans un dernier effort je place mes parchemins sous la garde de ma nouvelle amie.

Epuisé, je m'écroule et sombre dans un soleil agité de rêves où elfes dénudées cotoient les rayonnages d'un bibliothèque sans limites.

Après avoir passé la nuit, je me décide à descendre à la maison de la nature.

Mais avant je décide de laisser mes deux morceaux de bois étranges dans ma chambre.

(((la maison de la nature)))

(((la maison de la nature)))

Je monte dans ma chambre sous les combles.

Elle ne m'a pas rejeté, elle m'a simplment demandé d'attendre un peu. Serait-elle en deuil ? Aurait-elle un amour qui doit revenir ?

Je ne sais mais je serai patient, ma vie pourra être longue.

Pour expurger toutes ses idées de ma tête, je ne connais qu'un seul moyen : l'action.
D'abord travailler pour la maison de la nature comme je l'avais promis en acceptant la chambre, puis comprendre ces deux nouvelles qui me permettront de repartir en aventure.

Pour mieux exploiter mes trouvailles il va me falloir de quoi étudier sereinement mes nouvelles. Pour cela il va falloir que je me construise un bureau pour ma chambre.

Je descsnds dons dans la reserve de bois voir si je vais pouvoir trouver ce qu'il me faut.

(((exercice de métier)))

(((exercice de métier))))


Je monte mon bureau dans mes combles pour le péoser sous l'oeil de boeuf pour mon travail futur. Ces deux jours m'ont engourdi les muscles, il me faut sortir malgré le soir naissnt pour me dégourdir. Je ne vois qu'un endroit pour cela.

(((l'arène)))

Je me réveille enfin après la nuit avec Jettro. Mes préparatifs pour la fête sont faits, mon costume est là suspendu à une des poutres, recouvert de la cape noire. Une dette et une histoire assez vieille me reviennent en tête.
L'avantage c'est que je pourrai régler les deux au même endroit, à l'auberge.
Je m'habille et ceint ma ceinture portant mon cimeterre, je jette un coups d'oeil sur les deux parchemins sur mon lutrin, plus tard. Une légende peut attendre.
Tu parles d'une légende.

Je descends et sorts de la maison de la nature pour me rendre à l'auberge.

(((auberge des deux étoiles))

(((auberge des deux étoiles)))

J'arrive essouflé comme d'habitude. je jette ma cape sur mon lit et descends dans la reserve de bois pour me mettre au travail.

(((exercice de métier)))

(((exercice de métier)))

Je remonte dans ma chambre et retire rapidement mes vêtements de travail pour m'habiller pour la fête.
Je prends le temps de jeter un coup d'oeil sur mes parchemins sachant que cette année va voir le début de mes recherche actives sur le continents.
Je me passe la main dans les cheveux et retire quelques copeaux résultant de mon travail pour les enfants.
Je suis enfin prêt.

(((la fête du nouvel an)))

(((la maison de la nature)))

Cette foutue échelle, obligé de m'y reprendre à trois fois pour enfin arriver dans les combles.
Je m'effondre sur mon lit dans un nuage de poussière qui fait éternuer ma famille de souris.

Je sombre dans un sommeil proche du coma éthylique.

Je me réveille enfin avec un mal de crane monstrueux.

(J'ai un peu trop forcé, là je crois que j'ai battu un record. Ne pas parler pour ne pas que cela résonne, attention ne pas parler !
Qu'est ce que c'est que ces oiseaux qui font du bruit ! Aîe ! )

Je me lève le plus lentement possible pour que le sol ne se dérobe pas sous mes pieds. La lumière du jour passant par l'oeil de boeuf me gène.
Je me force à me rendre à mon bureau mais là je me pose lourdement sur mon tabouret et me tiends la tête entre les mains.

(Que la journée va être dure !)